Quatre idées de montres à s’offrir en duo pour la Saint-Valentin
À deux, c’est mieux, et c’est tout aussi vrai en horlogerie. Peu le savent, mais la vente d’une montre seule est essentiellement une pratique contemporaine, un fruit du XXe siècle. Il y a deux siècles, on vendait les montres par paire, pour elle et lui. Une tendance qui pourrait bien faire son retour cette année. En effet, l’horlogerie n’est pas qu’une affaire d’hommes, et c’est tant mieux ! Les femmes aussi aiment les montres, toutes les montres, belles, mode, classiques, modernes, imposantes ou discrètes. Certaines se les offrent, les autres préfèrent se les voir offrir. La Saint-Valentin se présente donc comme le prétexte idéal pour se faire plaisir à deux. Mais, attention, mieux vaut connaître les goûts de l’élu(e) de son coeur.
Duo chocolats
Faisant partie des montres les plus connues et prisées du monde, la Reverso de Jaeger-LeCoultre se décline de mille et une façons, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Récemment, la manufacture a réuni dans son modèle iconique les deux passions suisses les plus célèbres, l’horlogerie et le chocolat. Pour lui, la Grande Reverso Ultra Thin 1931 marie trois teintes de marron sur une boîte or équipée d’un calibre manufacture. Hormis la présence du 12, les heures sont exprimées par des index bâton, revêtus de matériel luminescent brun clair alors que les aiguilles des heures et des minutes adoptent un profil de dague. À 6 heures trône sur la petite seconde l’inscription « REVERSO » qui reprend la graphie exacte du modèle historique. Un bracelet chocolat confectionné par la Casa Fagliano complète cette pièce d’une valeur de 15 300 euros.
Pour elle, la Grande Reverso Lady Ultra Thin Duetto Duo se dote de deux cadrans animés par un seul mouvement. Au gré des envies et en un seul retournement de boîtier, ce concept permet d’afficher un cadran finement guilloché au recto ou un second fuseau horaire accompagné d’une marqueterie de nacre au verso. Montée sur un bracelet en satin, cette Reverso est disponible à 23 200 euros.
Sport chics et abordables
Un design contemporain qui mise sur un boîtier en acier poli élégant adapté à toutes les situations du quotidien, un cadran soleillé à trois aiguilles accompagné de détails raffinés tels que des clous de Paris formant un cercle placé sous des chiffres romains… Les montres Chemin des Tourelles de Tissot se veulent des accessoires raffinés simples à porter. Les femmes se laisseront séduire par le modèle de 32 mm rehaussé en son centre par une nacre discrète tandis que les hommes apprécieront de savoir que ces montres sont animées par le mouvement automatique Powermatic 80 à haute performance muni d’une réserve de marche de 80 heures. Prix de vente : 795 euros.
Plonger à deux
Spécialiste des montres sportives et techniques, Breitling a lancé cette année un couple de « super-plongeuses » taillé pour les eaux profondes. Seul chronographe au monde étanche et fonctionnel à 2 000 mètres de profondeur, le Superocean Chronograph M2000 présente un système exclusif de poussoirs magnétiques. Dans ce dispositif breveté, les commandes du chronographe s’effectuent à travers le métal du boîtier, sans aucun risque de pénétration d’eau. Celui-ci se munit également d’une soupape de décompression pour l’évacuation de l’hélium et d’un verre saphir antireflet de 4 mm d’épaisseur. Son cadran offre une lisibilité optimale, avec des index et aiguilles surdimensionnés soulignés de revêtement luminescent, tandis qu’une lunette tournante unidirectionnelle cannelée, surmoulée de caoutchouc noir, garantit une prise en main facile. À l’intérieur de cette Superocean, un mouvement SuperQuartz certifié chronomètre par le Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC) garantit une précision dix fois supérieure au quartz ordinaire. Prix : 5 410 euros.
Les femmes aussi ont le droit à leur Superocean. Pour elles, Breitling a créé une nouvelle version de son modèle avec boîtier, cadran, lunette et bracelet habillés de blanc. Une plongeuse d’un diamètre de 36 mm qui intègre un mouvement automatique officiellement certifié chronomètre par le Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC). Qu’on ne s’y trompe pas : malgré sa petite taille, cette Superocean II 36 a tout d’une grande montre de plongée. Sa lunette tournante unidirectionnelle cannelée, surmoulée de caoutchouc, affiche de gros chiffres bien visibles, un décompte des quinze dernières minutes du temps de plongée et un triangle avec repère luminescent à 12 heures. Son cadran s’orne de grands chiffres arrondis et d’aiguilles surdimensionnées soulignés de revêtement luminescent. Le boîtier ultra-robuste en acier poli garantit une étanchéité parfaite à 200 mètres de profondeur et se monte sur un bracelet en caoutchouc Ocean Racer à vocation sportive avec sa rangée de trous entourés d’un relief circulaire. Prix : 3 150 euros.
Charismatiques en couple
En 1956, Rolex rendit célèbre cette complication pratique et lisible qui affiche le jour et la date dans deux guichets bien distincts. Rolex a lancé l’an passé une nouvelle génération de sa pièce iconique surnommée « Président », puisque la manufacture en a offert une à Dwight Eisenhower lorsqu’il était président des États-Unis. Ces modèles sont équipés du calibre 3255, un mouvement qui redéfinit les standards de performance chronométrique. En effet, les critères de précision au porter de ces Day-Date sont deux fois plus exigeants que ceux d’un chronomètre certifié par le COSC. Sur le plan esthétique, cette nouvelle Day-Date offre une synthèse des développements historiques de ce modèle culte : des cornes et une carrure affinées, une large ouverture de cadran, un retour exclusif au bracelet Président – créé spécifiquement pour la Day-Date en 1956 –, et la lunette cannelée culte présente sur certaines versions. Proposée en platine 950 et en or jaune, gris ou Everose 18 carats, avec une large sélection de nouveaux cadrans colorés, cette dernière génération de Day-Date reprend les trois piliers fondamentaux de Rolex : chronomètre, étanche et automatique. Prix : à partir de 20 000 euros.